nov 302009
 

Le patriote Parizeau: « Y am on my way out ». Moi itou, je me sens devenu un sur-informé car depuis 1960 que je lis les journaux tous les matins. Et « l’homme » ne change pas hélas ! Comprenez-vous, jeunesses de La Vallée, que je préfère écrire sur mes chats et mes marmottes ou sur Barak, mon noir écureuil ?

Actualités encore : avec le contrôle pour (sur)protéger nos producteurs agricoles, tu dois payer ton lait 64 cents de plus, ton beurre $1.50 de plus qu’ailleurs… où il n’y a pas ce système. Maudite nouvelle ! Quoi ? Trop de nos émigrants refusent de s’intégrer, se croient installés en Ontario. Dans La Presse d’Émilie Côté (qui ne commente pas !) des« ethniques » déclarent : « On blame des anglos de pas parler français mais il y a des francophones qui parlent pas anglais. » Tel quel ! Non mais… D’abord dire qu’on est pas des « francophones », on est des « Québécois ». Comme répétait feu-Falardeau : « On dit pas des « japonophones » mais des Japonais. »

Hum, préférer raconter mes canards retardataires quand Bellavance ( La Presse) étale la question « cigarettes clandestines » et réussit à ne pas y mettre (pas une seule fois) le mot « amérindien ». Le toto ! Encore ? Fouglia détraqué (La Presse) content que des séries-télé « made in USA ». Il zieute des « zistoires » où les tabous les plus sordides tombent un après l’autre. Le pédaleur apprécie cet étalage; est-il pressé d’y voir un jour de la bestialité ? Privé de vélo, il s’ennuie… « la mère de tous les vices ». Écrire plutôt sur un raton-laveur se déchaînant contre (nuitamment) mon bac noir ! Nouvelle ? Il va y avoir une inévitable réforme de l’orthographe. Denise Bombardier (Le Devoir et TVA) s’en énerve. Résistance classique au progrès ? Le nénufar sera joli, la farmacie utile et un onion c’est bon !

Et puis quoi ? J’ai apprécié ce très fameux roman noir « La route » de McCarthy. Je ne crois pas aller voir le film qu’Hollywood. Déjà des critiques graves. Ensuite ? Lysiane Gagnon (La Presse) frappe fort sur les « nouveaux curés ». Ces zélotes de l’écologie pure : « Un clergé fondamentaliste ». Y a du vrai. La chasse aux pollueurs muant en « chasse aux (nouvelles) sorcières ». Dans VOIR, douleur d’y lire une déclaration du camarade Lévy-Beaulieu : « Oui, j’écris beaucoup, c’est que les femmes ne m’aiment pas. » Ça m’a fait mal. Vrai que les « beaux » (comme moi) ont peu de temps et écrivent moins. Je ris. De moi. P’is ces actualités ? Madame Stéphane Dion a bavé dans le web sur le chef Ignatieff. Hum,   le bonheur qui nous change des fausses solidarités stipendiées. Oh, j’aperçois ma bête puante (plus revue sous mon balcon depuis longtemps) qui rôde chez Maurice-Voisin. Cherche-t-elle une neuve cachette ? Hein ? « Grosse » nouvelle malodorante,

en noir et blanc !

  Une réponse to “Oui, BÊTE PUANTE ET ACTUALITÉS”

  1. Rapport à Foglia
    Vous semblez dire, Claude, que le savoir-vivre, le jugement, le bon goût ( contraire du dégueulasse ) sont non-négociables dans la vraie vie.
    Et alors je partage votre vision, déjà connue, d’ un monde qui reste à embelir, pas à salir.

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