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Mon Dieu, excitation chez moi ! Avant-dernier fion scripturaire du journalisant ? Ou deux entrées ? Je le répète : ma fierté. d’avoir tenu le coup durant 365 jours !
Pleins paniers de notes disparues dans mon bac à recyclage. Le 9 : liberté totale.
À part mon hebdo : « Poing comme… » et…ce drôle de roman sur mon Exilé !
Hier, en ville, suis allé chercher une demi-douzaine de livres chez « Robert-Bourassa » (rue Saint-Just à Outremont). Sur le Mexique, sur le Coran, sur le bouddhisme, sur la Thora…et un petit dico français-espagnol.
Je devrai, plus tard, me trouver des textes sur François (d’Assise) et sur Thérèse ( d’Avila). Sur ma lancée, mon projet de livre, mardi matin, à « Tous l;es matins », au moment du générique, j’ai recommandé aux grands-parents de parler aux enfants, pour Noël s’en venant, de Jésus. Eh ! C’est sa naissance que l’on célèbre, non ? Pas Père-Noël-Coca-Cola, ni consommations effrénées, pas vrai ? Que l’on soit croyant ou non, ais-je dit, c’est ce plus grand des prophètes ( ou « sages ») qu’il faut saluer le 25. Le premier à crier « amour et paix » quand, en son temps, tout était bien pire que chez les agressifs Talibans de l‘Afghanistan. Un fait.
B’en, en studio, j’étais fier de moi.
2-
Hier soir, une assemblée « monstre » qui nous a ému, Aile et moi. Des milliers d’ex-travailleurs du réseau français de la CiBiCi se retrouvaient pour cet anniversaire du « 50 ans » de la télé publique. Certains ex-camarades pas revus depuis presque deux décennies. Nous avions quoi?, 25, 35 ans quand nous entrions « bosser » pour cette télé débutante. Cheveux blanchis sur toutes les têtes dans couloirs et studios (vidés) du sous-bassement, rue René-Lévesque. Buffets, musique, bars. Étreintes. Souvenirs grattés. Oublis aussi. Nous cherchions un nom, des prénoms. Les uns en bonne forme, d’autres…oh la la ! Cannes, fauteuil roulant, parkinson, début de la saudite Alzaimer (malheureux C.D.), jambe coupée ( mon pauvre Peter F.), pacemakers cousus sur certaines poitrines, cher Roland G. On a ri de nos anciens projets fous, de nos déceptions, de nos bons coups.
On a revu d’ex-camarades avec qui on a eu de laides querelles. Éponges passées ! Oubliées ces chicanes des « productifs » anxieux d’antan. Hier soir, nous étions tous, un verre de rouge au fond de la main, « hors-circuit » désormais, mains tendues partout, accolades, baisers sur les joues.
Les employés actuels de la SRC étaient invités avec nous, les vétérans. Cela était bien. Jeunes visages croisant sans cesse des visages ridés, plissés, des regards mouillés. Ah oui, une réunion singulière. Chocs nombreux ! Revisiter ce grand studio 42 où je plantais tant de décors pour tant d’émissions de variété. Un frisson ! Un défilé cocasse : rappel d’anecdotes. Une étonnante veillée du « vieux poêle » mais trop de monde, trop de bruits, difficile de jaser à cœur ouvert avec d’anciens collaborateurs. Hélas, moi le demi-sourd, réduit à opiner du bonnet mécaniquement pour ne pas faire se répéter de trop des confidences… à voix trop basse. Il y a eu des cris aussi : cris de surprise et blagues du genre : je te croyais exilé à Paris (Maurice D.) !,je pensais que tu étais mort ( Raymond D.) ! Gros pow-wow chaleureux en fin de compte : un 5 à 8 qui nous a fait mesurer…le temps qui file. Tous, nous ne serons pas là au 75 ième anniversaire. On le sait. On n’y pense pas. C’est la vie, sa dure loi d’airain. Chantons : « Mais nous, nous serons morts, mes frères » !
3-
Pour les fédérats nous ne formons pas une nation, nous ne somme pas différents, et il n’y a qu’un pays (imposé) : le Canada. Aussi, ces fédérastes enrageaient hier que le Mexique fasse du Québec, « L’hôte d’honneur » (après Cuba cette année) à leur fameuse Foire du livre mexicaine de décembre 2003. Qu’ils en mangent une « sciau » ! Cependant que l’on voit (de là-bas) en « latins du nord », hum… Hélas non, nous sommes dans l’américanéité des choses et nous vivons dans le froid —la neige et la glace— six mois quasiment par année. Alors… latins du Nord… Ouengne, faudrait pas exagérer !
J’avais lu jadis des écrits du fameux Graham Green et je le jugeais « parano sur les bords » avec sa suspicion, « les gens de la CIA, disait-il, l’encerclaient ». Eh bien, hier matin, entrefilet de gazette : oui, le cher dissident britannique était sur la black list de la CIA ! Je lis « qu’on le suivait à la trace au FBI ».Amoureux de l,’Amérique latine ( lire : « Le pouvoir et la gloire ») Green fessait fort sur les ambitions impérialistes des USA. « Ingérence détestable », gueulait-il. L’article dit que Graham G. fréquentait et applaudissait les Fidel Castro et les Daniel Ortega. « Persona non grata » notaient les ambassadeurs de Washington. On fit un film de son roman; The end of an affair », c’était un bon film calqué sur un maudit bon roman. Il est mort en 19991, exilé toujours inquiet sur sa chère Côte d’Azur, là où il enquêtait en journaliste libre sur un maire de Nice magouilleur dangereux et craignait toujours —il publia un petit bouquin sur cette pègre française— une noire action de la mafia nicéenne.
4-
J’ai commencé jeudi dernier le deuxième chapitre de ce jeune missionnaire « éxilé » (mon titre de travail). au Mexique parmi des créoles, des métis et des « indiens » Très inquiet. Énervé même. C’est toujours ainsi. J’aime cette vulnérabilité d’écrire sans plan, de me laisser aller à me raconter à moi-même une histoire. C’est merveilleux, excitant, de ne pas savoir ce que va devenir mon héros et ses entourages. Cela peut avorter. C’est arrivé souvent. Pas grave. Soudain, besoin de savoir (il est temps) si, à Pont-Viau, les P.M.É avaient des gens en mission au Mexique ! Ah, j’ai Internet. Je pitonne… plein de mots mais… Rien. Pas moyen d’apprendre. Déception de cet Internet. J’irai fouillé, à la cave, dans de vieux tomes d’annales de ce séminaire qui formait l’oncle Ernest parti, lui, en Chine, vingt ans.
Le building de la cour arrière, Chemin Bates, s’élève tranquillement. Deux roulottes à « power machin » ronronnent bien fort en face du Phénix. Merde ! Ce bruit…les résidents qui endurent cela sans cesse. Oui, merde! Nous, on filait, à jeun, vers la Laurentie dès ce matin.
La Marie-tous-les-matins au téléphone : « Prêt pour nous revenir demain, vendredi, pré-enregistrement pour le 31 »? Oui, prêt, chère Marie-Claude. J‘aurai mon sac de « bonbons à ménagerie » ! Tous, en studio, ils vont bricoler. Un mél de Sainte-Thérèse : « on vous veut pour jaser « littérature » en février ». Je clique « oui ». Serais-je toujours vivant en février ? Je note toujours en réponse à ces invites : « Si Dieu me prête vie jusque-là ». L’on proteste chaque fois mais, au fond des choses, c’est une réalité. La mort ne m’a jamais fait peur. Jamais.
Marielle ma quasi-jumelle : une nouvelle lettre tantôt. Noirceur de sa vie, désespérance. Comment la réconforter ? Effet de ce temps des fêtes sur les « sans-enfants » ? Je ne sais trop. J’ai douze ans, rue Saint-Denis, un voyou l’a frappée, je cours chercher l’ignoble, venger chevaleresquement cette petite sœur humiliée, Marielle comptait sur ce grand frère. Là, devant moi, sa lettre si sombre et me voilà, le vieux, comme moins capable de la venger.
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Mon Marcogendre et webmaestre, avec Éliane, partis pour un week-end-hôtel à Saint-Jovite et… panne sur l’autoroute 15 ! Il a dû bifurquer —planer comme le commandant Picher— habilement de la voie extrême-droite à l’extrême-gauche. Danger ! Frissons ! Maudit moteur pété. Du pognon à verser, remorquage et garagistes. Adieu le séjour de repos. Ouash ! Ils nous invitent à souper dimanche alors que nous ramènerons de son concert philharmonique (à Terrebonne) le musicien de la famille, leur benjamin Gabriel.
Demain soir; souper avec les Cuillièrier, l’ex-réalisateur Pierre-Jean et sa filigrane Casserole. Tantôt, téléphone d’arrangement. Moi : « Dis-donc, tu étais pas là au grand pow-wow hier soir ? » Lui : « Oui, oui mais vous étiez au studio 43 avec les « vieux », pas moi » ! Le saligaud. Je vais lui secouer les cuillères demain soir.
La frétillante Pétrovski a rencontré la veuve active du grand Riopelle, l’abitibienne venue d’une grosse famile, Hughette Vachon. Deux décennies … ne les séparaient pas. Elle veillait sur son vieux hibou, oie noire dans son île. Elle a mis une série de « conditions » à cette interview ! On peut faire cela ? Pas question de parler
de l’héritage, des problèmes avec Iseult, la fille dévouée du peintre. Eh b’en ! Ainsi, Nathalie nous apprenait que le torchon brûlait donc ! On sait que cette « infirmière hors du commun » est « pour » le prestigieux déménagement de la fameuse sculpture (comme la fille Iseult) alors que des amis de Riopelle s’y opposent. Il y a un « dévédérom » sur celui qui dit en ouverture : « Je suis un oiseau sauvage, je ne me fixe jamais nulle part ». Ce qui n’erst pas bien vrai. Pas vraiment un nomade le Riopelle, allons ! Paris très longtemps —New-York pas longtemps— Sainte-Marguerite et puis son Île aux Grues. C’est tout. Légendes, mythologie, le cours normal des embellissements.
Justement, vu un bon docu (Artv) sur le sculpteur Charles Daudelin avant hier. J’ai toujours aimé ce gaillard d’en arrière de Dorval, au sud de Ville Saint-Laurent. Jeune , on le voyait à ses marionnettes, puis comme étalagiste aux vitrines de la SRC, hôtel Ford. Plus tard, la sculpture publique. Aussi de l’art sacré : belle chapelle de religieuses, le maître-autel si baroque de la chapelle du Sacré-Coeur, dans l’abside-est de l’église Notre-Dame. Surpris du peu de soins accordés à ses ouvrages, on a pu le voir rouspéter avec raison sur le .désintérêt des propriétaires de ces sculptures extérieures.
Nathalie la trotteuse, cette semaine, raconte son expédition chez le « maire » officieux des Trois-Pistoles, nul autre que mon éditeur actuel, V.-L. B. L’avantage d’avoir (si bien) illustrer un coin de province : là-bas, il est le chouchou. Et moi ? Rien pour mon Villeray (si bien ?) illustré. .Mais moi je n’ai pas fondé un centre d’art dans mon quartier natal. Eh ! Ça m’apprendra. Fou, lisant l’amour bien chaud porté à cet enfant du lieu, je me suis imaginé tenancier-animateur d’un vibrant « café d’art » rue de Castelnau dans Sainte-Cécile. .Des vieux comme moi y viendraient tisser des souvenirs, je rêve…des jeunes boivent nos paroles… Et puis, je me suis réveillé.
Ainsi, au grand caucus radiocanadien hier soir, rencontre avec le nouveau patron D. Gourd, rejeton des grouillants Gourd abitibiens, il me lance : « Ah, mon cher Jasmin, vous nous avez donné de si jolis feuilletons dans les années ‘70 et ‘80, il faut nous préparer vite une nouvelle grande histoire vécue, vous avez le don des réminiscences enjouées… » Daniel Gourd cause, cause, me fait rêver d’aise
et…je me réveille encore, maudit !
En vérité, nous nous sommes salués brièvement, je lui ai souhaité « bonne chance » avec son nouveau gouvernail. Il aura besoin d’un vrai bon appareil en effet pour redresser le vaisseau (public sans grand public hélas ) qui plonge, qui plonge !
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« Falar d’eau » (fardeau sur sa tête sans cesse, comme accablé ) hier à TVA avec le Grand blond. Il vise juste : « Nous étions 50 % jadis, puis 25 %…nous ne serons plus un jour ( en 2020 ?) qu’un tout petit 10 % parmi les Canadians et on nous dira avec raison, ayant refusé notre propre patrie, « taisez-vous, minorité insignifiante » Ainsi Foglia, samedi, parlait de cette même bouche : une majorité finit toujours par assimiler une minorité . Eh ! Mais, lui, il causait sur les Montagnais ( Innus ) voulant se développer à côté de la majorité blanche sur la Côte Nord. Graves querelles en vue par là ! Chevrette en arroseur d’incendie prévisible. La majorité gueule : Privilèges à ces tribus en chamaille et pourquoi ? « Pour avoir la paix », n’ose pas répondre Québec-Landry. Puisqu’ils ne veulent pas s’intégrer à nous tous, Québécois. .Les « Indiens » disent : « Quoi, quoi ?, vous autres aussi, vous refusez bien de vous intégrer à votre « majority canadian », non ? Eh !
Voulez-vous bien me dire pourquoi tant d’entre nous continuons à bosser dans ce terrible monde des arts et spectacles ? Voyez : un certain Dominique Champagne fait feu des quatre fers un bon jour, est unanimement acclamé, avec son « Cabaret :neiges noires » et », et puis, il est invité au prestigieux TNM, et puis on va l’engager au fameux Cirque du soleil. Récemment, il remonte un show fou, « Vacarmes… ». Badang ! Crotte 1 Erreur. Échec. Critiques défavorables partout. Unanimité de nouveau : le Champagne nouveau est fade ! Imbuvable. Oui, un curieux de métier, je vous le dis. Il va se relever de cet éreintement et, fou, repartira dans une autre aventure scénique. Tous faits de cette étoffe bizarre, tous faits de cette farine…qui rend le « clown rouge » tout blanc de méprise soudain.
Un fait troublant : ces surdoués, brillants, imagiers actuels dédaignent les textes. Je songe à tant de textes (de jeunes auteurs) qui dorment sur les tablettes du centre CEAD. Pas de scénario solide ( l’histoire ), c’est là que le bât blessait chez Cha,mpagne, disent tous les éreinteurs.
Mon ex-petit camarade de l’École du meuble, Gilles Derome, un matin récent en lettre ouverte du Devoir récidive en voulant nous symboliser « Séraphin et Donalda ». Manie : il cite. Pourquoi faire le cuistre, étaler sa…confiture ? Il cite sans cesse. Cette fois, face à du Grignon, Pascal, « Monsieur Teste », Bourdieu, Bloy, Valéry. Et lui, mon cher vieux Derome, il en dirait quoi au juste de l’avarice ? Paravent refuge ? Peur de s’exprimer seul dans l’arène ? Mercredi, Nat Pétro fonce elle : Séraphin et Angélil, combats voisins ! L’avare gérant de Céline Dion aurait eu, — sa première « créature » viande à chien— une Donalda à …maganer, l’ex-chanteuse Anne Renée. Ce « René et Renée », fatal combat, se lirait dans le récent bouquin signé Jean Beaunoyer. Le confident du J.B. ? Un certain Beaulne, ex-compagnon-Baronet du René. Pris de remords tardifs, Beaulne voudrait faire effacer ses révélations ! L’éditeur doit espérer une « colère avec avocat et huissier » de ce Séraphin Poudrier moderne. Un monde de papotage-potinage inouï !
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Un reporter anglo d’ici écrit —avec grand succès me dit-on— dans le « Mirror ». Kritsian Gravenor, son nom. Un montréaliste dévoué et doué. Curieux de tout. Or, il confie (La Presse), que son journal préféré est « Allô Police ». C’est là, dit-il, que, le plus souvent, il l déniche ses sujets d’articles ! Simonac : je le crois car j’ai toujours voulu m’y plonger, je résistais, je l’avoue, par snobisme. Je devine en effet, que les drames humains y pullulent.
Chez Bazzo, mon étouffé de tousseur de Bourgault, tout épaté par « le magnifique sens des cérémonies » en France. Que j’ai raté à la télé du canal Tv-5, merde ! Il parle de « Dumas entrant au Panthéon ». Hier soir, marchant vers le mémorial aux anciens, Alexandre Dumas, en personne, nous apparaît —foulard-lavalière au cou, ample manteau, le gant noble— le verbe haut, derrière une camionnette chargée du bordel-à-filmer. Alexandre Dumas s’en allait vers un site funèbre comme à l’accoutumée. Je dis : « On n’ira donc pas, Alexandre, à la fête-50 ans »? Modeste panthéon ! Lui : « Oh non, ennuyeux ces chiards ». Une portière de voiture claque sous les gigantesques soucoupes hertziennes du parking. Dumas s’en va, mousquetaire en actualités.
Je reviens de l’École-magasin-culinaire. Bon stock ! Mais… faiblesse : biscuits au chocolat et un autre dessert ! Aile examinant ma chasse aux aubaines : « Ah, sucrerie hein » ? Non mais… est-y fatigante ?
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Hier soir, revenus du Panhéon-Vieilles-Gloires, vu à TVA, après le sieur de La Brêche, Michel Jasmin, mon cousin de Saint-Laurent. Il confessait en abbé sérieux Anne Létourneau —« je suis la fille du Pirate Maboul, répétera-t-elle— qui se sort assez bien de crises de boulimies atroces. Le sucre (ah, elle aussi !) était sa drogue, dit-elle. Elle se cacjait, se taisait, n’arrivait pas calmer des fringales pantagruélesques ! Engraissait à vue d’oeil. évidemment. « Tous autour de moi restaient muets, par charrité., par politesse… » dit-elle à Jasmin. Un jour, elle dit avoir fini par comprendre qu’il faut (comme pour les alcoos) de l’aide. Elle découvrira ANEB, un groupe efficace. Thérapies. Nouveau sucre : Anne, ma sœur Anne…navigue dans spiritualités exotiques, réincarnations, consultations de voyantes.
Aile et moi étonnés, on l’écoute raconter : « Un matin, une voix me parle à Key West : « Sors, ton nouvel homme est là, sur une galerie, pas loin, va ! Il est beau comme un acteur, il est brillant, il est cultivé ». L’actrice, fille de Monique Lepage ajoute : « C’était vrai ! Il était tout près, sur son balcon ( allô Roméo !) et ce sera le bonheur. Et j’ai ma petite Chinoise que j’ai adoptée ». Photo. Rideau ! La télé ainsi est un peu, parfois, du « Allô Police ». Mais en rose !
Tantôt, à l’École des petits chefs, je lis sur l’histoire des Hébreux. Une sorte de glossaire. Les grands noms des grands fondateurs. Documenter un peu mes synapses de neurones… en vue de mon roman in progress, « L’éxilé ».
Quand l’entrée finale du journal. Quand ? Redire que j’achève !